LBS-CRIAEAU : Rwanda Fête des Gorilles, Philosophie des Pornographes, Lacan et Peuples Autochtones

LBS-CRIAEAU : Juste un petit billet qui , entre synthôme rwandais et synthôme français, observe l'écart.

Jusque aux peuples autochtones avec Survival International, le réel contre l'écocide qui est un grand génocide, de la Conscience - collective  - des peuples avec la nature, la flore, les animaux , les Droits Humains, la sociabilité et l'Universel encore : et si Lacan et la Philosophie des Pornographes pouvaient sembler et apparaître comme " décalés ", on interrogera néanmoins le rapport au Théâtre.

Puisque en ce Théâtre de l'Autre, de Sade à Jean Rouch, des costumes de gorilles Humains aux masques et maquillages de l'Amazonie, les Corps encore résonnent en toute conscience de leurs Droits et Plaisirs : très loin des cacatonies, névroses et psychoses de xénophobes racistes et destructeurs de la Planète, quand les drh religieusement impotents à comprendre Harpagon chez Molière...croa croa pédophiliser la jeunesse de la Terre en croyant la nier, elle et son Histoire de la Vie, ses Droits et son avenir.

Cet écart, au Criaeau, nous le désirons mesuré, et à tout le moins recherché, exploré et mis en jeu sur la scène internationale de la fin de notre inconscience à détruire la planète par le capitalisme financier et génocidaire, extrativiste et tv-foot-race.

Ainsi, des " Lumières du Rwanda " à  un " Théâtre de l'Autre ", j'aime à tout bientôt publier , en l'expérience du labo-nomade " Esther 21 : une Histoire d'Amour ", une réflexion et description, proposition pour les suites de nos recherches en Creuse...Universelle.

Très bonnes études à toutes et tous.

Laurent Beaufils-Seyam pour le Criaeau, écrit à Boussac, le samedi 7 septembre 2019.

LBS-CRIAEAU : Des news du Rwanda, de Christine et Daniel, des Gorilles et de la Nature, de l'Intelligence et de la Réparation, de l'Universel encore : Les Lumières du Rwanda ......Toute une Philosophie que les survivantes et survivants portent haut et fort : UBUMUNTU.

Daniel Le Scornet : "  Je ne peux relater tous les moments forts que nous vivons actuellement au Rwanda. Je fais cependant exception pour la journée d'Hier : le baptême des 25 bébés gorilles nés cette année au Rwanda. Une journée extraordinaire (la quinzième depuis 2005) d'émotion, de fierté nationale, de justesse internationale et universelle. D'émotion car chaque bébé gorille se voit doter d'un nom propre, d'un visage, d'une communauté sensible entre le peuple rwandais, les amis du monde qui aime et respecte le Rwanda, communauté qui fait hymne à la défense du vivant, humain, animal, végétal. De fierté nationale car l'immense travail de sécurisation et de développement du parc national des Volcans à permis de tripler le nombre de gorilles (désormais plus de 600) depuis 2005, de reconvertir plus de 30 000 habitants en gardiens collectifs et guides du parc, de générer un boom touristique et économique qui se décline aussi en centres de santé, en écoles, en infrastructures de tous types. De justesse internationale et universelle car chaque personnalité, qu'elle vienne du Rwanda comme du monde entier ( Coach d'Arsenal, Chorégraphe, Ambassadeurs d'Israël ou de Russie, Artistes, Jeune garçon ayant pris à lui seul la décision de construire en 3 ans une route de sept Km dans sa province d'origine…) par le nom qu'il donne à "son" bébé gorille exprime à sa façon singulière ce pacte entre l'humain et la nature, ce respect envers un pays et un peuple qui ne fait pas que se reconstruire intérieurement mais qui, pour le faire vraiment, s'ouvre en très grand à l'international et à l'universel, apporte l'imagination et le projet africain au monde entier. J'ai assisté à un passionnant moment d'intelligence inspirée ! "

Daniel le Scornet

Je ne peux relater tous les moments forts que nous vivons actuellement au Rwanda. Je fais cependant exception pour la journée d'Hier : le baptême des 25 bébés gorilles nés cette année au Rwan...

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LBS-CRIAEAU : Pour les formations Criaeau.org en Ethique de la Sexualité : premiers cours d'Histoire 

Philosophie des pornographes, Colas Duflo, Sciences humaines - Seuil

Philosophie des pornographes, Colas Duflo : Déculpabilisation du plaisir, défense comme " naturelles " de conduites sexuelles condamnées par l'Église, affirmation qu'une sexualité libre est ...

http://www.seuil.com/ouvrage/philosophie-des-pornographes-colas-duflo/9782021404173

LBS-CRIAEAU : L'Autre, petit Autre et Grand Autre ....( On pensera un Théâtre de l'Autre... en ces assertions propositionelles...) 1 / .....que Lacan déclare : « C’est le monde des mots qui crée le monde des choses, d’abord confondues dans l’hic et nunc du tout en devenir » (Écrits, 276). / 2 : Le sujet n’est jamais ce qu’il s’imagine être lui-même ; l’ego est le produit de ces illusions imaginaires ou spéculaires. L’être humain ne peut rien subir ni faire sans s’imaginer au principe de ce qu’il subit et fait, comme si cette condition de possibilité imaginaire pouvait expliquer quoi que ce soit de ce qu’il subit ou fait. L’ego est produit pour se défendre contre une incohérence menaçante et pour lui substituer une cohérence de fiction. Le sujet est la partie symbolique, tout à fait insensible et inconsciente, mais réellement active pour produire de l’unité. Le véritable sujet n’est donc pas le fantasmatique ego qui se croit constitutif, mais qui est en réalité produit par les images successives de ces aliénations ; c’est le sujet de l’inconscient, qui est produit par le langage ou, plus exactement, par les signifiants du langage. Les signifiants ne sont pas produits par le sujet, quoiqu’il puisse se le figurer ; ils sont ce qui le constitue : « Le désir inconscient, c’est ce que veut celui, cela qui tient le discours inconscient » (Conférences de Bruxelles, p. 6) ; et, un peu plus loin, p. 19 : « Ce que l’inconscient montre, en effet, c’est que cette structure signifiante est déjà là avant que le sujet prenne la parole et, avec elle, se fasse porteur d’aucune vérité, ni prétendant à aucune reconnaissance. » Ce sujet trouve sa cause dans l’effet de langage. « Par cet effet, il n’est pas cause de lui-même, il porte en lui le ver de la cause qui le refend. Car sa cause, c’est le signifiant sans lequel il n’y aurait aucun sujet dans le Réel. Mais ce sujet, c’est ce que le signifiant représente et il ne saurait rien représenter que pour un autre signifiant à quoi dès lors se réduit le sujet qui écoute. Ce sujet, donc, on ne lui parle pas. Ça parle de lui, et c’est là qu’il s’appréhende, et ce d’autant plus forcément qu’avant que ça s’adresse à lui, il disparaisse comme sujet sous le signifiant qu’il devient, il n’était absolument rien » (Écrits, 835 ; Séminaire XI, 142). La subjectivité est la figure que prend ce que Lacan appelle « la passion du signifiant » [(Écrits, 688 ; voir expression comparable, Conférences de Bruxelles [CB], 19]. / 3 : L’ordre symbolique n’est fondé ni dans la nature ni dans un sujet. C’est lui qui est fondement de la nature, du sujet, comme de l’Imaginaire, quoiqu’il ne nous apparaisse pas comme tel. Le Symbolique a l’effet du Réel et il est pris pour tel en raison, d’une part, de son caractère systématique et structurel, d’autre part, de son indépendance à l’égard du Réel, dont il cherche à s’emparer et qu’il tente de scander, selon son propre rythme et ses propres oppositions. L’effet d’extériorité du Symbolique par rapport au sujet est obtenu par le fait que le Symbolique se rattache radicalement à l’Autre.

42Il ne faut toutefois pas dire que le Réel est entièrement langagier ; envers du Symbolique, il ne l’est, au contraire, pas du tout. Simplement Lacan pense qu’il y a une sorte d’illusion du Symbolique qui pousse le sujet à attribuer l’existence à ce qu’il imagine à travers les mots, qui enferme le sujet dans un univers auquel il ne peut échapper (II, 43), parce qu’il est clos et paraît sans histoire, semble le faire tourner dans des cycles bordés par la mort, le vide, le manque. « L’erreur – comme la qualifie Lacan – [est] de croire que ce que la science constitue par l’intervention de la fonction symbolique était là depuis toujours, que c’est donné. » Or le donné n’est que l’ombre projetée du Symbolique sur le Réel. « Cette erreur existe dans tout savoir, pour autant qu’il n’est qu’une cristallisation de l’activité symbolique, et qu’une fois constitué il l’oublie » (II, 29). Lacan note subtilement qu’il est sans dommage de l’oublier dans la plupart des sciences ; « mais nous autres analystes, nous ne pouvons l’oublier, qui travaillons dans la dimension de cette vérité à l’état naissant » (ibid).://www.cairn.info/revue-cites-2003-4-page-145.htm?contenu=resume

https://www.cairn.info/revue-cites-2003-4-page-145.htm?contenu=resume&fbclid=IwAR0dG_VFXc0wfEeDWh70u7t_vsGy4TUHfzu2uOwcbR8WBeb1ZBWIrGEVTRY

https://www.cairn.info/revue-la-cause-freudienne-2007-2-page-51.htm?fbclid=IwAR2gtrFlKHd3VSzxPfIVRoCULVAnZ0PBjgySGdzkSR0Ytf3H9MqYFRtcB4c

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Les Lumières du Rwanda .... | Criaeau

" Les Lumières du Rwanda " , le prochain livre et publication de Laurent Beaufils : Ici, en " avant-première " , un texte introductif : Cliquez s'il vous plaît sur : Esquisse pour Les Lumières ...

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