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Dossier Rwanda " France complice de génocide " :

De l'intention génocidaire chez " agathe kangiza-barril-mitterand " à l'intention génocidaire du gouvernement fr de cohabitation en mars 1993 ?

JUSTICE ! EDUCATION Criaeau

 

" Qu'est-ce qu'un génocide en Afrique ? " : la punition de crimes imprescriptibles et la peine prison à perpétuité pour les auteurs du génocide et tous leurs complices.

Reprendre une réflexion en la complicté de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda sur " l'intention génocidaire ", c'est devoir comprendre que nous pouvons démontrer cette intention génocidaire.

Puisque de la " phrase de miterrand " qui a cru pouvoir nier le réel du devoir d'appliquer le Droit International en relativisant le fait démontré alors par le rapport Carbonare de la réalité d'un génocide qui déjà était en cours en janvier 1993 contre les Tutsi au Rwanda, les actes qui s'en sont suivi du gouvernement de cohabitation ont donc été, factuellement, de ne pas respecter le rapport Carbonare et de s'opposer aux retraits des troupes françaises exigé par la DGSE, le Minsitère de la Défense, le Chef des armées au Rwanda et la FIDH selon le droit international : cette négation du Droit International, informés du génocide en cours et en conscience donc de nier, s'opposer et outre-passer le Droit International, est le REEL d'une intention génocidaire réalisée en cette participation avec le plan d'extermination révélé de l'akazu du gouvernemnt génocidaire rwandais , quand le gouvernement de cohabitation français acta encore de doubler les troupes françaises au Rwanda, d'informatiser les fichiers de Tutsi à éliminer, de former des milices de tueurs, c'est à dire de participer au plan génocidaire dans une mesure première sans laquelle le génocide n'aurait pas pu être perpétré autant, aussi vite, avec autant de moyens structurels, financiers, de formations et d'armes, aussi profondément : il s'agit donc bien d'une intention génocidaire puisque nous avons les preuves de refus d'application du Droit International et de l'adhésion pleine et entière à la particpation au plan génocidaire : de l'élaboration de fichiers de personnes à faire assassiner à la formation de milices et tueurs chargés d'éliminer ces personnes.

Aussi, même si nous n'avons pas besoin de démontrer l'intention génocidaire française au Rwanda pour déjà prouver la complicité de génocide, il est aussi possible de démontrer que cette complicité de génocide contre les Tutsi a été réalisée dans une intention génocidaire en adhérant au plan d'extermination alors déjà lancé.

Il existe une circonstance attenuante pour les politiques et militaires qui ne le savaient pas et qui n'ont pas été d'accord.

Il n'existe aucune circonstance attenuante pour les politiques et militaires français qui ont contribué à ces décisions et applications particpant de l'exécution du génocide.

Le Criaeau désire, avec aussi la CNLG et la Justice française, reconnaitre  » barril comme auteur du génocide  » et donc une  » association de malfaiteurs en vue de commettre un génocide  » là où les criminels mitterand, barril, kangiza, juppé, sarkozy, et certains militaires français comme quesnot, lanxade, sont coupables de cette complicité et aussi d’une INTENTION GENOCIDAIRE en deux temps :

1 / le premier temps avec barril, kangiza et mitterand est l’association de barril mitterand avec l’akazu qui fut un groupe à intention génocidaire .

2 / Le second temps en mars 1993 est démontré dans les billets Seyam quand le gouvernement de cohabitation avec l’armée française ont nié consciemment le rapport Carbonare les informant de leur participation à un génocide contre les Tutsi déjà en cours : à ce moment précis, Joxe en minsitre de la Défense, Varret en chef des armées au Rwanda, la DGSE en services secrets se sont alignés sur le rapport Carbonare, normativement et selon le droit international pour exiger le retrait des troupes françaises au Rwanda : quand donc le gouvernement de cohabitation mitterand-droite française avec certains militaires ont cru passer outre le rapport Carbonare et le Droit International pour poursuivre avec un gouvernement rwandais alors accusé de génocide des Tutsi : c’est parce que conssciemment et en doublant troupes et supports, qu’encore idéologiquement, en thèse du double génocide et idéologie ethnico-raciste, le gouvernement de cohabitation de mars 1993 plus des militaires français ont sombré alors dans l’idéologie exterminatrice en niant consciemment le rapport Carbonare et le Droit INTERNATIONAL, que l’on peut accuser d’INTENTION GENOCIDAIRE certains français, politiques et militaires dans leur complicité et participation au génocide des Tutsi.

En avril 1998, Jacques Julliard, chroniqueur au Nouvel Observateur, écrivait ceci : “… De la même façon se posera un jour, n’en doutons pas, la question de la responsabilité de la France, François Mitterrand étant président de la République, dans le génocide des Tutsis du Rwanda en 1994. La France n’a pas commis le crime, mais elle a armé les bras de futurs tueurs qui ne cachaient pas leurs intentions.”

Les documents des archives de la présidence de la République française font apparaître que les autorités françaises ont été régulièrement informées dans les années 1990 à 1994 des risques de massacres des Tutsis de grande ampleur et de l'intention des chefs d'état-major d'exterminer les Tutsis27. À partir d', date de l'offensive du FPR contre le gouvernement de Kigali, la situation des Tutsis au Rwanda est devenue plus difficile, et les autorités et l'armée françaises étaient conscientes du risque de génocide comme en témoigne, dans le télégramme du  de l'ambassadeur de France au Rwanda, l'analyse du colonel Galinié selon laquelle le rétablissement d'un pouvoir tutsi au nord-est du pays entraînerait selon toute vraisemblance « l'élimination physique à l'intérieur du pays des Tutsis, 500 000 à 700 000 personnes, par les Hutus […]28 ». Le général Varret, de l'armée française, a rapporté aux députés français avoir entendu en 1990 du principal responsable de la gendarmerie rwandaise l'explication suivante à propos des Tutsis : « ils sont très peu nombreux, nous allons les liquider »29.

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