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LBSKC-CRIAEAU R3 : Pour un Artiste, un écrivain, vivre de nuit dans un Théâtre ou écrire en décalage ressemble pour les autres , à des formes de confinement quand bien autrement, il s'agit d'écrire et ou de rechercher en Théâtre : la concentration, le décalage peuvent être long, plusieurs nuits, plusieurs mois, ou vivre-écrire de nuit comme Georges Sand.

Ceci pour donner à entendre que l'Artiste jongle avec les heures et le temps, s'inscrit dans un rapport au Corps conscient et ayant expérimenté nombre de décalages, et surtout pour nous les " performers 21 " en ce début de 21ème siècle : encore le rapport à l'écriture et théâtre est déjà en soi un rapport à la folie du monde, un Miroir Critique des Sociétés et Humains : or donc, alors que les drh psychopathes macronistes meurent de la folie du pouvoir-argent-ignorance, la remarque du Docteur Raoult rejoint nombre d'analyses et synthèses de Docteurs en ARTS, Théâtre, Ecriture, Danse encore ...

En qualité d'Artistes chercheurs, nous avons tant nombre d'outils, formations que de soins et expériences , corporéïques et psychiques, doctoraux : or en ces sociétés folles , les confinements rendent fous les gens , privés encore d'Art, Théâtre, Cinéma...

La gestion de cette épidémie est une catastrophe dans la suite de l'épidémie de négation du Dossier Rwanda : nier l'Ecocide provoque ces maladies et pollutions des villes, et les confinements achèvent de rendre fous les gens et les DRH eux -mêmes.

Vivement que les Ecologistes et la gauche authentique avec les Médecins authentiques soit le gouvernement en France où la population aura viré tous ces DRH macron psychopathe.

En Art donc, les décalages continuent ici encore quand à la campagne ....c'est cool les jardins , bois , forêts, même de nuits ....sous la voute étoilée.....pour écrire, danser, recherches théâtrales ...Vous pouvez consultez le site Criaeau  pour la Performancee "Une Nuit aux Pierres Jaumâtres " ..toujours en  cours ...

Et puis en lieu et place de devenir fous en regardant des séries de merde sur netflix et en vous pliant à obéïr à des DRH psychopathes fous, étudiez ces définitions de l'ART ci-dessous : des neurobiologistes à Pierre Leroux.

Et puis battez-vous pour ne plus être confiné(e)s : battez-vous pour retourner aux Théâtres et Cinéma : de la catharsis à la raison, de la critique à l'imaginaire, de la Liberté à l'Egalité, c'est une Fraternité-Sororité vitale ....: la TV, c'est la mort zapette -zapetté(e)s : la TV c'est la dictature de la messe capitaliste raciste : la TV c'est la soumission aux langues LTI nazies DRH communautaristes qui vous tue à tous les niveaux sociétaux, sociaux, personnels et collectifs. Battez vous pour ne pas être obligés de bouffer supermarché la bouffe agro industrielle, puis de bosser pour les milliardaires qui vous tuent, puis de tuer votre vie à la TV ! 

Exigez la Démocratie et 6ème République, EcoSociale & anti-négationniste, Culturelle d'ART : ne vous soumettez pas à la dictature marcon drh.

 

Très bonnes études au Criaeau

Laurent Beaufils-Seyam, écrit à Boussac,, le 29 janvier 2021 à 13 heures pour le Criaeau.org

LBSKC-CRIAEAU R3 : M.Raoult considère toujours que la stratégie de confinement adoptée depuis presque un an par le gouvernement n’est pas la bonne. «On écrira avec le temps l’histoire de cette maladie en disant qu’il y a eu une époque où ils ont été fous, au lieu de les soigner ils les ont obligés à rester à la maison sans se soigner. C’est l’une des choses les plus étranges de l’histoire des pays modernes»,

LBSKC-CRIAEAU R3 : Très bien : vous étudierez cette définition de l'Art par des neuro-biologistes en 2012, et puis vous comparerez avec celle de Pierre Leroux en 1835 .....c'est en billet Seyam : on vous le fait illico presto ! Bisoux. / Criaeau.org

L’image contient peut-être : une personne ou plus et nuit

« Le cerveau ne produirait pas de réaction esthétique si cela n'avait aucune utilité pour la survie », note Dahlia W. Zaidel, chercheuse en neurosciences comportementales. Le fait que la sensibilité esthétique se retrouve dans toute l’histoire de notre espèce suggère en effet qu’il existe « une fonction biologique et adaptative de l’esthétique, qui va au-delà du plaisir ».
Selon Zaidel, si l’émotion esthétique a pour but de susciter un phénomène d’« attention-attraction », celui-ci est avant tout social : la beauté de ce qu’ils créent attire les humains les uns vers les autres. Attraction bénéfique sur le plan de l’évolution : « L’accroissement de la taille des groupes humains, ainsi que l’accumulation culturelle conservée et transmise entre les générations, sont des facteurs essentiels du succès du développement de l'Homo sapiens.» Autrement dit, le ravissement esthétique a été retenu dans le bagage l'espèce car « il nous tient ensemble ».
De même, nous percevons de la beauté dans la musique et dans la danse parce que la capacité de nous synchroniser avec les rythmes du monde est une condition indispensable de notre survie, selon le biologiste chinois Tianyan Wang.
La sensation d’être confronté à une forme de beauté serait une boussole servant à nous indiquer que nous sommes sur la bonne voie pour capter une vérité fondamentale au sujet de l’Univers – ou de nous-mêmes. Cela sonne « mystique », mais c’est l’idée du neurobiologiste Semir Zeki, pionnier de la neuroesthétique.
Son hypothèse part d’un constat étonnant : la région cérébrale corrélée à l’expérience de la beauté est toujours la même, quelle que soit la source de l’émotion esthétique. Une équation, un visage, un tableau, une musique sont beaux de la même façon pour notre cerveau – les trouver beaux nous signale qu’on perçoit quelque chose de vrai.
Mais comment notre cerveau sait-il qu’il est en présence d’une vérité? Peut-être parce que l’ordre structuré de l’Univers dans lequel nous évoluons est justement « reflété dans l’organisation du cerveau ». Dans l’expérience esthétique, le cerveau vivrait ainsi un effet miroir face à son propre fonctionnement et face à la ressemblance entre celui-ci et la mécanique de l’Univers.
En se demandant quelles régions du cerveau s’activent lorsque nous faisons l’expérience de la beauté, une équipe interdisciplinaire de l’Université de New York (le neuroscientifique Edward A. Vessel, la professeure en lettres G. Gabrielle Starr et la spécialiste de la perception Nava Rubin) fait au début des années 2010 une curieuse découverte. Lorsque les sujets de leurs expériences, enfermés dans un scanner IRM et confrontés à des images, font état d’un ravissement esthétique maximal, l’appareil révèle une activation des zones cérébrales qui forment le « réseau du mode par défaut ». Étrange. Car ce réseau n’est censé se mettre en marche que dans les moments de repos éveillé : lorsque le cerveau, en l’absence d’une tâche ou de stimuli extérieurs, n’est connecté qu’avec lui-même. Or dans ce cas, un stimulus est bien là : l’image qui déclenche le transport esthétique…
Que signifie cette anomalie? L’art, notent les auteurs dans un article paru en 2013 dans Frontiers in Neuroscience, « obtient un accès au substrat neural impliqué dans la perception de soi : un accès que normalement les autres stimuli extérieurs n’obtiennent pas ». La beauté, et elle seule, réussit cet exploit. Ceci « permet à l’œuvre d’art d’interagir avec les processus neuraux liés au soi, de les affecter, et peut-être même d’être incorporée en eux ». Cet unisson, ce « moment où le cerveau détecte une certaine harmonie entre le monde extérieur et notre représentation intérieure de nous-mêmes » nous donne l’impression que la beauté « nous touche du dedans ». Ce mécanisme appartient à l’espèce, mais le résultat est individualisé : l’expérience esthétique me dit qu’un accord se réalise – et que c’est important pour moi.
Priver les êtres humains d'art, qui est une partie importante mais une partie seulement de « la culture », serait donc les priver de quelque chose d'essentiel...
(Photo extraite du spectacle "Les naufragés", mise en scène Emmanuel Meirieu)

Pierre LEROUX, « Art », Encyclopédie nouvelle, vol. 2, 1836, p. 82-84. Extrait p. 83-84.

1Voyons s'il ne s'offrirait pas naturellement une distinction plus large et plus nette, qui, en nous faisant pénétrer dans le sens profond de ces mots, art et industrie, dissiperait tout d'un coup les nuages et les controverses sur l'utile et le beau.

2Par tous nos sens, par toute notre vie de relation, nous recevons des impressions, des images, nous éprouvons des attraits, des répulsions. C'est là le fonds commun de tous les matériaux dont notre sensibilité, notre mémoire, notre imagination, notre intellect, se composent. C'est ainsi que nous puisons notre vie à la vie universelle. Et de même que notre vie de nutrition se développe et s'entretient en s'assimilant des parties matérielles du monde extérieur, de même notre vie de relation se développe et s'entretient en s'assimilant des impressions du même monde extérieur. Comment celle double nutrition se fait-elle ? C'est le problème de la vie, aussi insoluble pour les psychologues que pour les physiologistes. Mais il y a cette différence qu'à peine avons-nous conscience dans certaines maladies des phénomènes de notre vie de nutrition, tandis qu'à l'exception, au contraire, de certaines maladies et du sommeil complet, nous avons conscience des phénomènes de notre vie intellectuelle. Celle-ci est donc, à proprement parler, notre vie : l'autre nous est presque aussi étrangère que la vie du monde extérieur. Or, véritablement, les actes que nous faisons pour modifier la vie du monde extérieur doivent avoir un caractère tout autre que les actes qui se produisent dans notre propre vie. L'industrie a pour objet notre action sur la vie qui est en dehors de nous et que nous ne sentons pas; tandis que l'art est l'expression de la vie qui est en nous. C'est dire qu'entre l'industrie et l'art il y a l'homme tout entier. Dans l'industrie, d'où vient la vie ? De la nature, toujours d'elle. La vie du monde extérieur coule sans cesse, et l'industrie humaine la gouverne comme nous poussons de l'eau avec une rame. Par l'industrie, quelque merveilleuse qu'elle soit, l'homme ne fait que diriger une vie qui n'est pas en lui; mais l'art est l'expression de sa propre vie, ou, mieux encore, sa vie elle-même se réalisant, se communiquant aux autres hommes, et faisant effort pour s'éterniser.

3Or, l'homme ne crée rien, en prenant le mot de création dans un sens absolu. Il n'a donc pas d'autre moyen de réaliser le produit de sa vie intérieure que de l'incarner dans ce qui existe déjà.

4De là il suit que le principe unique de l'art est le symbole. De l'homme à l'homme il n'y a en effet que deux modes de communication.

5Ou l'homme exprimera directement, mais très imparfaitement, par le langage abstrait, le résultat de sa vie intérieure;

6Ou il ira puiser dans le monde extérieur, à la source commune des impressions, dans l'océan de vie où tous nous sommes plongés, des images capables de donner par elles-mêmes les sensations, les sentiments, et jusqu'aux jugements qu'il veut exprimer.

7Le premier mode d'expression est, comme nous venons de le dire, le langage abstrait, qui n'exclut ni l'éloquence, ni même le sublime.

8Le second mode d'expression, c'est la poésie.

9La poésie est cette aile mystérieuse qui plane à volonté dans le monde entier de l'âme, dans cette sphère infinie dont une partie est couleurs, une autre sons, une autre mouvements, une autre jugements, etc., mais qui toutes vibrent en même temps suivant certaines lois, en sorte qu'une vibration dans une région se communique à une autre région, et que le privilège de l'art est de sentir et d'exprimer ces rapports, profondément cachés dans l'unité même de la vie. Car de ces vibrations harmoniques des diverses régions de l'âme, il résulte un accord, et cet accord c'est la vie; et quand cet accord est exprimé, c'est l'art ; or, cet accord exprimé, c'est le symbole; et la forme de son expression, c'est le rythme, qui participe lui-même du symbole : voilà pourquoi l'art est l'expression de la vie, le retentissement de la vie, et la vie elle-même. La poésie qui prend pour instrument la parole, et qui rend par des mots le symbole et le rythme, est un accord, comme la musique, comme la peinture, comme tous les autres arts : en sorte que le principe fondamental de tout art est le même, et que tous les arts se confondent dans l'art, toutes les poésies dans la poésie.

LBS-CRIAEAU : Un passage correct de François Graner à TV 5 monde où la journaliste a oublié d'être incorrecte et ressemble presque à ( la suite de ...) Be Be Be en Rwanda 94 " une tentative de réparations pour les morts à l'usage des vivants " . Evidemment François ne reprend pas la proposition Criaeau d'une INTENTION GENOCIDAIRE quand pourtant il insiste avec Raison sur la conscientisation démontrée du savoir français sur cette complicité de génocide : le point de démonstrative est " l'opération insecticide " menés par barril - agathe habyrimana et les mêmes français complices au même moment en Mars 1993. Pourra-t-on en parler et en discuter ensemble ? Je ne crois pas vu les formats et absence désormais de conférence en France sur la topique : seule une structure tel le Criaeau en Centre de Recherches Internationales permettrait d'aller encore bcp plus loin sur un très grands nombres de questions qui échoient à toute l'analyse de cette complicité de la france dans un génocide 50 ans après la Shoah. Surtout quand les conséquences telles que démontrées n'ont pas été corrigées et qu'encore les pathologies négationnistes se poursuivent contre les Enfants de la terre et les Fleurs en l'écocide-pandémie : là, on observe chaque jour l'entièreté des pathologies immenses des gouvernants français devenus aussi impotents que ploutocrates, criminels et irresponsables psychopathes. " Bref " , merci à François Graner et à cette belle journaliste intelligente, ou intelligente journaliste donc belle en Ethique appliquée, de donner aux télévisés 15 minutes de conscience dans une sous vie de dominés, violés, endoctrinés et malades. Bien sûr ce n'est pas suffisant : mais on progresse autant que faire se peut. A suivre. Consultez Criaeau.org

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